Que ferons-nous ?

 Dans Edito

Après 12 ans passés au Conseil d’administration des Éditions Mennonites, j’ai voulu laisser la place. Malgré la sollicitation de nombreuses personnes pour entrer au Conseil, celui-ci reste en sous-effectif avec cinq membres au lieu des sept prévus par nos statuts, et le travail nécessite un nombre plus important de participants.

Au bureau des Éditions Mennonites, des changements dans la gestion administrative sont en cours et demandent un grand engagement. La parution des Dossiers de Christ Seul a pris ainsi du retard en 2017.

Par ailleurs, notre rédacteur, Michel Sommer, annonce son départ à l’automne 2018 (voir pages 45 et 57). Qui le remplacera ?

Enfin, c’est un grand défi de maintenir le nombre d’abonnés à Christ Seul et aux Dossiers de Christ Seul et de faire en sorte que les jeunes, qui souvent préfèrent les écrans à la lecture papier, s’abonnent à la for- mule Internet, à moitié prix. Les responsables des Éditions Mennonites se posent donc beaucoup de questions qui restent sans réponses.

Le passage de 2017 à 2018 est un moment privilégié pour réfléchir et faire un bilan. Que devons-nous faire pour assurer la pérennité de Christ Seul et des Éditions Mennonites ?

Bien sûr, il y a eu au cours des années (115 ans depuis la création du Bulletin Mennonite) des crises qui, par la grâce de Dieu, ont été surmontées : le Seigneur est fidèle (qu’il en soit remercié !), et les membres de nos Églises aussi (merci à eux également !).

APPELS

Nous savons que la prière est efficace, mais prions-nous pour les Éditions Mennonites ? Nous savons que le Seigneur nous appelle à le servir, mais croyons-nous qu’il appelle certains à oeuvrer dans le cadre de nos publications ?

Et s’il existe entre nos Églises mennonites une solidarité qui se traduit de différentes façons, portons-nous dans la prière toutes nos Églises, en particulier les moins nombreuses ? Je pense particulièrement à l’une des plus petites d’entre elles, celle de Peyruis (ex-Lurs) dans les Alpes-de-Haute-Provence, qui n’a pas d’école du dimanche pour les enfants, vu leur nombre plus que réduit.

Je m’interroge et je persévère dans la prière, même si je n’ai pas de réponse pour l’instant. Mes voeux pour vous au début de cette année 2018 est que nous restions tous unis dans la prière et attentifs à ce que le Saint-Esprit veut nous dire.

Contactez-nous

Envoyez nous un courriel et nous vous répondrons dès que possible.

Illisible ? Changez le texte. captcha txt
0

Commencez à taper et appuyez sur Enter pour rechercher